Après la superbe “Dernière Nuit” proposée par Bruno Angelini et Daniel Erdmann, nous accueillons ces nouvelles compositions de Bruno Angelini, inspirées de la poésie minimaliste. Un quartet qui, comme le dit très bien Xavier Prévost, “tutoie le sublime ». Et cette musique “parle” et dessine une autre vision du monde : décroissance, répartition des richesses, respect de la nature.
Une musique complexe qui sonne comme une évidence lumineuse et sereine, du grand art en quelque sorte.